Ce catalogue est à vendre par l'ASU au prix de 12 euros
Ussy sur Marne, le pâtis

samedi 22 décembre 2018
mardi 18 décembre 2018
Le pont Samuel Beckett à DUBLIN
Le pont Samuel
Beckett
est un pont à haubans situé dans le centre-ville de Dublin.
Véritable trait d’union entre les 2 rives de la ville, le
pont relie Macken Street à Guild Street. Très moderne, il a
été conçu par l’architecte Santiago Calatrava Valls, tout
comme le James
Joyce
Bridge bâtit un peu plus haut.
Sa forme est semblable à celle d'une harpe celtique.
Baptisé en l’honneur du célèbre écrivain
irlandais, le pont a été inauguré en 2009.
Malgré son coût exorbitant (60 millions d’euros), le pont a
permit de désengorger les rues de Dublin,
mais aussi de véhiculer une image de plus en plus moderne de
la ville de Dublin.
Véritable attraction touristique, il est très apprécié des
touristes, qui en profitent ensuite pour aller découvrir le
Convention Centre de Dublin,
un immeuble ultra moderne, situé juste en face du pont…
Ici un lien vers le site Guide Irlande
vendredi 14 décembre 2018
jeudi 13 décembre 2018
Epandage de boues : ne pas s'alarmer ???
Suite à l'article paru dans l'ITINERANT du 22/11/2018 (à lire ci-dessous), l'ASU pose la question suivante :
- pourquoi la surveillance est-elle à ce point nécessaire ?
- pourquoi prendre de telles mesures si les boues étaient aussi inoffensives que certaines le prétendent ?
- pourquoi proposer aux habitants du périmètre d'épandage de :
- ne plus cultiver sur ces territoires ni fruits ni légumes ..et surtout ne pas les consommer…
- ne plus pratiquer d'activités en contact avec la terre ..
- pratiquer des dépistages concernant le saturnisme …
- éviter l'implantation de bâtiments accueillants enfants, habitations avec jardins, terrains de sports …
Cet appel au NON alarmisme n'est-elle pas la preuve qu'il y a bien danger ??
- pourquoi la surveillance est-elle à ce point nécessaire ?
- pourquoi prendre de telles mesures si les boues étaient aussi inoffensives que certaines le prétendent ?
- pourquoi proposer aux habitants du périmètre d'épandage de :
- ne plus cultiver sur ces territoires ni fruits ni légumes ..et surtout ne pas les consommer…
- ne plus pratiquer d'activités en contact avec la terre ..
- pratiquer des dépistages concernant le saturnisme …
- éviter l'implantation de bâtiments accueillants enfants, habitations avec jardins, terrains de sports …
mercredi 12 décembre 2018
lundi 12 novembre 2018
Le 11 novembre 1949
Il est midi
La population a assisté à la MESSE DU
SOUVENIR
En sortant de l’église elle se rassemble au
MONUMENTS
AUX MORTS
(photo Jacques Delaitre)
sur le parvis de l’église de Ussy on peut voir :
de dos, à gauche un groupe isolé de 3 personnes devant le monument :
① Mme RAFFINI, avec son chapeau… Elle tenait l’harmonium à l’église, veuve d’un administrateur des Colonies elle a beaucoup voyagé (notamment en Nouvelle Calédonie, Iles du Pacifique) Elle habitait la maison d’angle de la rue du Bac, au pied de l’église. Elle y vivait avec sa sœur, veuve d’un Lieutenant décédé en Indochine.
② Jean DELAITRE (père de Jacques Delaitre) vu de dos ; Président des Anciens Combattants, (en pardessus gris long) Officier et ancien prisonnier de guerre Il avait été maintenu prisonnier en Allemagne puis en Russie, de 1939 à 1945.
③ Aristide, mains croisées dans le dos, un
émigré italien, marchand d’articles de
pêche, et vélos, (boutique au 1, rue des marionnettes) qui a bien connu Samuel
Beckett. Ce dernier venant souvent le voir.
Sur la gauche de la photo groupe des anciens combattants sous les arbres.
Face au Monument, l’Abbé
LOQUIN ④, Curé, (de Ussy, Sammeron, Signy Signets) encadré
par 2 enfants de Chœur, (dont l’un serait Jean Greub).
A droite de la photo, sur la rue, 7 pompiers volontaires commandés par Raymond LUCAS⑤, Chef des pompiers, premier
de la rangée et à sa droite Camille
MACARTY⑥, (mains dans le dos et de
petite taille) ouvrier agricole à la Ferme Delaitre.
Les enfants ayant assisté à
la Messe du Souvenir sont massés sur le parvis de l’entrée.
On remarque que la porte qui existait à gauche de
l’entrée de l’église est encore visible
à cette époque.
Les villageois qui se reconnaitraient sur cette photo
peuvent contacter l’A.S.U. ou Mr Jacques
Delaitre.
(photo Jacques Delaitre)
1918/2018" CENTENAIRE DE LA GUERRE 14/18
lundi 5 novembre 2018
vendredi 26 octobre 2018
Samuel Beckett and Barbara Bray : A New Documentary
Née en 1924 à Londres d'immigrants juifs du Benelux, formée à Cambridge, Barbara Bray a été productrice et dramaturge à BBC Radio de 1953 à 1960. Dans son rôle, elle a contribué à mettre au jour certains des meilleurs écrivains britanniques et européens de l'époque. En 1961, elle s'installe à Paris où elle vit et travaille jusqu'à sa mort en 2010. Elle a commencé sa vie à Paris comme critique, mais a acquis une renommée internationale comme traductrice littéraire de Sartre, Robbe-Grillet, Pinget, Giono, Genet, d'Ormesson, Bosquet, Maalouf, et Reza. Elle était également une amie proche et traductrice de Marguerite Duras, pour laquelle elle a reçu le prestigieux prix Scott Moncrief de traduction littéraire.
"Bray occupait une position unique et privilégiée en tant qu'ami intime et compagnon intellectuel."
Si elle s'installe à Paris, c'est pour la rapprocher de Samuel Beckett, qu'elle rencontre lors de la production de sa première pièce radiophonique All That Fall en 1957, et dont elle tombe amoureuse. Alors que Beckett était déterminé à préserver son mariage avec Suzanne Dumesnil, Bray occupait une position unique et privilégiée comme ami intime et compagnon intellectuel.
Si elle s'installe à Paris, c'est pour la rapprocher de Samuel Beckett, qu'elle rencontre lors de la production de sa première pièce radiophonique All That Fall en 1957, et dont elle tombe amoureuse. Alors que Beckett était déterminé à préserver son mariage avec Suzanne Dumesnil, Bray occupait une position unique et privilégiée comme ami intime et compagnon intellectuel.
En 1963, dans une de ses rares pièces autobiographiques, Beckett fait référence à ce triangle amoureux complexe dans Play (Comédie). C'est Bray qui a été le premier à l'étudier pour The Observer.
Barbara Bray
Le couple partage des moments d'intimité dans son gîte rural d'Ussy, près de Paris, à côté d'activités littéraires : Bray corrigea les travaux en cours de Beckett, le conseilla sur ses propres traductions, lui suggéra des lectures, et assista occasionnellement à des représentations en tant qu'espion privé.
Le couple partage des moments d'intimité dans son gîte rural d'Ussy, près de Paris, à côté d'activités littéraires : Bray corrigea les travaux en cours de Beckett, le conseilla sur ses propres traductions, lui suggéra des lectures, et assista occasionnellement à des représentations en tant qu'espion privé.
Pendant 30 ans, ils ont échangé des milliers de lettres, et bien qu'il n'ait gardé aucune trace de la sienne, elle a conservé la plupart des siennes. Quelque 720 lettres, cartes postales et autres notes sont aujourd'hui conservées dans les archives du Trinity College de Dublin.
Marek Kedzierski est un auteur, traducteur et metteur en scène polonais qui a rencontré Beckett fréquemment dans les années 1980 et est devenu un ami proche de Bray´s après la mort de writer´s en 1989.
En 2003, Bray a subi une attaque cérébrale qui l'a confinée dans un fauteuil roulant. Kedzierski a travaillé en étroite collaboration avec Bray pour développer ce qui devait être son Mémoire ; leurs réunions quotidiennes comprenaient généralement des lectures des lettres de Beckett. Modeste et volontaire, Bray a lutté en vain pour compléter son texte. Lorsqu'elle est décédée en 2010, elle a laissé derrière elle des centaines d'enregistrements audio documentant sa vie et sa relation avec le lauréat du prix Nobel. La rue Samuel Beckett, conçue et mise en scène par Marek Kedzierski, est un hommage à une femme remarquable et une histoire remarquable.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Kedzierski sur Bray et Beckett
"La relation de Beckett avec Barbara a commencé au début des années 60 et a duré jusqu'en 1989. Dix-huit ans son cadet, elle l'a accompagné pendant trois décennies, une grande aide surtout dans ce qui était le plus difficile pour lui - l'écriture. Elle le tenait informé de ce qui se passait en littérature et en art (...). Elle a inspiré Beckett, discuté de ses œuvres, revu et corrigé ses nouvelles œuvres et ses traductions (...) Elle lui a envoyé un nombre impressionnant de livres à lire de la biographie d'Ernest Jones de Freud au Tractatus de Wittgenstein."
Lisez l'hommage de Marek Kedzierski à Barbara Bray dans le Evergreen Review.
"La relation de Beckett avec Barbara a commencé au début des années 60 et a duré jusqu'en 1989. Dix-huit ans son cadet, elle l'a accompagné pendant trois décennies, une grande aide surtout dans ce qui était le plus difficile pour lui - l'écriture. Elle le tenait informé de ce qui se passait en littérature et en art (...). Elle a inspiré Beckett, discuté de ses œuvres, revu et corrigé ses nouvelles œuvres et ses traductions (...) Elle lui a envoyé un nombre impressionnant de livres à lire de la biographie d'Ernest Jones de Freud au Tractatus de Wittgenstein."
Lisez l'hommage de Marek Kedzierski à Barbara Bray dans le Evergreen Review.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Message de l'ASU : La reproduction des photos de Barbara Bray est strictement interdite sans autorisation, nous vous invitons donc à consulter le lien en direct :
https://rhystranter.com/2015/06/16/samuel-beckett-and-barbara-bray-a-new-documentary/
Ne manquez pas de regarder la bande annonce de Rue Samuel Beckett :
lundi 15 octobre 2018
ENQUETE PUBLIQUE EPANDAGE DES BOUES EPURATION USINE ACHERES - NOS OBSERVATIONS
ENQUETE PUBLIQUE EPANDAGE DES
BOUES EPURATION USINE ACHERES
Sur la SEINE ET MARNE
Observations de l’Association – OCTOBRE 2018
----------------------------------------------------------------------------------------------------
L’ASSOCIATION
souhaite déposer les observations, réserves, questions ci-après auprès du
Commissaire Enquêteur, au sujet de ce projet d’épandage sur la Commune de USSY
SUR MARNE laquelle figure parmi les 106 Communes affectées.
1. la Commune est entrée dans le périmètre d’épandage le 14/10/2016 (renouvellement) pour 106,48 ha et le projet en question soumis à enquête envisage la même surface. Le village restera donc impacté de la même manière pour cette fois……
2. Notre propos prendra donc en compte, sur ce chapitre, la globalité :
3. en effet :Considérant que La surface envisagée sera du DOUBLE sur la Seine et Marne par rapport à la surface actuelle épandue, nous estimons cette augmentation beaucoup trop importante eût égard au nombre d’habitants impactés et aux nuisances au sujet desquelles l’Autorité Environnementale ne fait pas mystère.
4. Le département Seine et Marne est en constante progression démographique, dûe à l’afflux de « rurbains » fuyant les loyers exorbitants de Paris/proche banlieue ; s’ajoute à cela , une stratégie d’urbanisation forcenée qui oblige les Communes installées dans le périmètre concerné, à atteindre des seuils de population toujours plus élevés et à l’extension continue des villes nouvelles.
5.
Ce projet se fait donc au mépris de la population qui pour des raisons indépendantes souvent
de leur volonté, se trouvent implantées dans ce département, qui présente de
surcroît un gros bassin d’emploi.
6. Le département Seine et Marne est majoritairement agricole, mais il est l’un des plus peuplé chiffre en constante progression.
Question :
est-il logique, de pratiquer :
-
d’une part, une telle politique,
-
et d’autre part, de nuire à ces populations en leur faisant subir des nuisances
attestées (voir ci-dessous § 7 – 8 ) QUI
VONT DOUBLER , au niveau de la Seine et
Marne ?
-
Nous réclamons donc une diminution notable de la
surface envisagée.
7.
NUISANCES OLFACTIVES
-
les nuisances olfactives sont attestées comme pestilentielles.
-
L’agriculteur dispose dans les textes de 48h
pour ENGAGER l’enfouissement ce qui signifie souvent que 48 h ne seront pas
suffisant pour terminer la tâche, laquelle s’étendra donc sur plusieurs
jours. C’est ce qui s’est passé
récemment sur la Commune de USSY, cet été, un soir de canicule, où les odeurs
ont persisté rendant impossible d’être dehors, et obligatoire la fermeture de
toutes les fenêtres.
Question :
à qui s’adresser en cas de non respect des contraintes d’épandage ?
Le
Commissaire Enquêteur précise :
le SIAAP –
SITE SEINE AVAL BP 104 à MAISONS LAFFITTE CEDEX.
Quand à la
Mairie, cette dernière ne peut que recevoir les plaintes…….
Ceci est non
recevable ; et présente un défaut notoire de moyen de recours immédiat pour le riverain …
8. NUISANCES
METAUX LOURDS
Les
stations d’épuration constatent la présence de métaux lourds contenus dans les boues et l’Autorité Environnementale
émet des réserves à ce sujet, tout en faisant la remarque que les
quantités décelées sont « en dessous
des seuils maximum autorisés » Ces
résidus se retrouvent immanquablement dans les eaux pluviales, et les cours d’eau. Et les nappes phréatiques…..
Ils sont ingérés également par les animaux au travers des aliments pour
bestiaux produits sur les parcelles concernées
et se retrouvent immanquablement dans l’alimentation
humaine.
Question :
Qui peut formellement
attester que ces taux* ne se révèleront pas dans l’avenir… très
dangereux, voire cancérigènes pour la population ?
à l’image de
ce que fut l’amiante en son temps ?
On commence
déjà à dénoncer dans notre alimentation des additifs divers, qui, au début de
leur utilisation étaient attestés comme inoffensifs, et qui sont aujourd’hui
interdits à la consommation ……
*Où
et comment, et par qui , sont établis ces seuils ?
9. RISQUE
D INCOMPATIBILILTE AVEC LE PROJET P.N.R
Les
instances régionales et départementales s’ingénient à travailler sur la
valorisation touristique du patrimoine
sur le périmètre du futur PNR. Nous citerons TERROIRS 77, le G.A.L. la Direction du Tourisme
(Coulommiers Pays de Brie) les Communes, les Associations
Environnementales du Département,……
Question :
N’est-il pas contradictoire de mettre en place une extension doublant l’’épandage des boues d’épuration de
ACHERES (78) dans une zone que le Département
cherche à valoriser en terme touristique sous le label « Paris aussi a sa campagne » ? (= une campagne pestilentielle et
dangereuse pour le consommateur …)
10. MANQUE D
INFORMATION des citoyens et de moyens
d’ACTION DES MAIRIES
Il faut considérer en
effet, la présence sur une même Commune , de PLUSIEURS PLANS D’EPANDAGES qui s’additionnent d’année en année, émanant de diverses sources :
-
du renouvellement constant de chaque plan avec
extension systématique, aux parcelles pas encore touchées (doublement des
surfaces pour cette présente enquête)
-
et des épandages faits en dehors de tout SIAAP,
avec des stations locales de moindre importance qui ne demandent (sans
doute ?) pas d’enquête…et
dont il semblerait que les Mairies
n’aient pas toujours connaissance, sauf plaintes des riverains……
Nous
observons un manque de transparence dans
la procédure : en effet, il semble que les Mairies :
-ne
détiennent pas l’information globale du nombre total d’hectares épandus en
boues d’épuration de toute provenance, sur tout leur territoire, et à l’année,
-ne soient
pas non plus informées de l’identité de l’exploitant qui épand (lequel n’est pas forcément le
propriétaire)
-ne sont pas averties des dates d’épandages.
OU
du moins, si elles détiennent toutes ces informations, ne les diffusent pas au
public. (site internet, affichage…)
POURQUOI le
riverain , dont l’avis est sollicité dans cette enquête n’a-t-il pas la
possibilité, par la suite, d’être informé de manière exhaustive ? de
réagir en cas de non respect des contraintes ?
à qui nuit la transparence ?
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
CONCLUSION
DANGEROSITE RECONNUE ET ATTEINTE A LA
SANTÉ SUR UNE POPULATION EN CROISSANCE CONTINUE
MANQUE DE SUIVI ET DEFICIENCE D
INFORMATION AU NIVEAU DES COMMUNES
DECHETS NOCIFS AUX PORTES DU GRAND PARIS
ET DANS LE P.N.R.
Nous émettons un avis
défavorable au doublement sur le
territoire de la Seine et Marne,
Des boues d’épuration
d’Achères
Yvonne Ampen, vice Présidente
mercredi 3 octobre 2018
lundi 1 octobre 2018
ENQUETE PUBLIQUE - EPANDAGE des BOUES d’EPURATION usine d’ACHERES - ETAT DES LIEUX
ETAT des LIEUX
suite à visite du 26 Septembre au
Commissaire Enquêteur JOUARRE
-
1. Les agriculteurs sont demandeurs auprès de la
SIAAP et expriment leurs besoins en épandage, le SIAAP leur attribue le tonnage
souhaité. D’après le Commissaire enquêteur aucune obligation d’épandre des boues, s’ils
ne le souhaitent pas.
L’enquête actuelle demande le DOUBLEMENT de surface de l’épandage
actuel de ACHERES en Seine et
Marne ; certains agriculteurs augmentent leur tonnage, d’autres restent à la même
quantité, d’autres sont « nouveaux » dans le programme. La
demande est renouvelable tous les 4 ans. Sur une parcelle, l’agriculteur ne superpose pas plusieurs
épandages de boues
2. l’épandage se fait une fois en 4 ans sur une parcelle. Et c’est le SIAAP lui même qui épand selon
les normes prescrites, à charge pour l’agriculteur d’enfouir. Il est possible
parfois que l’agriculteur ait l’agrément de la SIAAP pour épandre lui même.
3. le SIAAP engage
tous les ans, un nouveau dossier d’enquête publique pour épandre d’autres
parcelles; ainsi en 2019 un même dossier sera établi (sur quelle région ?) pour d’autres parcelles. Les boues non
distribuées sont mises en décharge ce qu’ils souhaitent éviter.
4. Comment savoir si
d’autres SIAAP épandent sur la Commune ?
c’est difficile à
savoir ! car l’agriculteur peut faire épandre d’autres parcelles par une
autre SIAAP. Plus locale par exemple. Ce qui fait que : actuellement
il est impossible de savoir sur une
Commune, la quantité exacte des hectares
qui reçoivent des boues. Aucune concertation entre les SIAAP pour
établir une topographie générale de tous
les épandages sur un territoire donné.
5. tout agriculteur a le droit de s’adresser à
une station d’épuration locale pour épandre car certaines de moindre importance
que ACHERES, n’ont pas de SIAAP et traitent donc de gré à gré avec
l’agriculteur. Il ne serait pas tenu non
plus d’en informer la Mairie. Question (ndlr) une Mairie peut-elle adopter une motion pour
obligation déclarative dans le but d’informer la population et pouvoir
surveiller le respect des contraintes ?
-------------------------------------------------------------
LES POINTS 3 - 4 et
5 POSENT PROBLEME
Impossible d’évaluer l’étendue de tous les épandages de
toute provenance, sur une Commune sinon
de s’adresser directement à chaque agriculteur ……. Et il n’est pas du ressort de cette enquête
d’ACHERES, de soulever la question ni d’y répondre.
----------------------------------------------------------
6. L’agriculteur doit
engager l’enfouissement dans les 48 h MAIS
il dispose en fait d’environ 10 jours pour le faire, s’il a beaucoup de
surface à enfouir. D’où risque de nuisances
olfactives de longue durée…..
7. quelle autorité surveille le respect des contraintes
d’épandage. ?
le SIAAP puisque c’est en principe lui qui épand. Le riverain peut s’adresser au SIAAP en cas de non-respect……(épandage
wk, enfouissement tardif …..) adresse figurant dans le dossier.
8. Ce plan d’épandage en cours de renouvellement justifiant cette enquête publique n’est pas
reconduit tacitement ; il faut renouveler l’autorisation tous les 4 ans.
C’est ainsi que l’épandage des boues d’ACHERES a été institué il y a fort longtemps, et qu’il est
constamment renouvelé en raison de la demande des agriculteurs, d’une part, et
de la profusion grandissante des boues disponibles, d’autre part.
9. Compatibilité avec
le PNR ?
Absolument aucune mention du futur PNR n’est faite, dans le
dossier d’enquête publique (qui mesure pourtant 15 cm d’épaisseur)
le Commissaire Enquêteur
ignore même l’existence d’un PNR en gestation.
10. Dans l’enquête le SIAAP demande une « dérogation pour stockage des boues en tête de parcelle sans travaux
d’aménagement, et pendant une durée de 1
an maxi »
cela signifie que faute de chemin de champs pour que les
camions déversent le stock de boues, sur
la parcelle, la SIAAP sera autorisé à stocker en tête de parcelle »
quelles seraient les nuisances liées à cette dérogation ?
11. Sur les 106 Communes impactées il est indiqué 2 sites
classés et 1 site inscrit. Le Commissaire Enquête ne sait pas de quels sites il
s’agit ; c’est une information qui n’impacte pas l’enquête (dixit)
Quid du tourisme dans le sein du PNR qui a recensé de
nombreux monuments et sites remarquables ? (ndlr)
12. Nuisances
les nuisances
olfactives sont attestées (mais ne dureraient que quelques jours ) par an.
la teneur en métaux lourds
contenus dans les boues est attestée ainsi que leur dangerosité. L’autorité
environnementale constate que les boues restent dans les normes de santé
réglementaires.
Risque de pollution
des cours d’eau et nappes….. ?
c’est surtout sur ces
sujets que des réserves peuvent être émises par la
population
sans omettre l’impact sur la valorisation touristique du
patrimoine.
13. le Commissaire
Enquêteur constate le manque de
motivation de la population vis à vis de l’enquête :
Le Commissaire Enquêteur a constaté que PERSONNE n’est venu
à sa permanence de VILLENEUVE Sous Dammartin , Une personne
seulement le 25 Septembre à
celle de JOUARRE..
Conclusion : tout le monde est d’accord…. Pas d’observation
particulière.
Par contre s’il avait une multitude d’observations,
questions, débats, soulèvement populaire,
articles de presse, réunions, ….il serait obligé d’en tenir compte dans
ses observations. (il fait le rapport entre le nombre d’habitants impactés, et
le nombre de citoyens exprimant leurs refus ou observations)
Fait à Ussy sur Marne,
Y AMPEN, vice Présidente
mardi 25 septembre 2018
Notre région va-t-elle devenir la poubelle de Paris ?
Cet été à USSY , un soir, une odeur pestilentielle a été détectée jusqu'au lendemain.
l'ASU a enquêté sur la provenance : il s'agissait de l'épandage par un agriculteur de boues de station d'épuration, et non du digestat de la méthanisation d'Ussy, comme certains l'ont cru de prime abord.
Outre l'odeur particulièrement nauséabonde des boues d'épuration, elles sont dangereuses car elles contiennent des résidus de métaux, contrairement au digestat qui est un produit naturel de fermentation.
Du fait de la présence de nombreuses industries et de l’importance de la population en région parisienne, les boues de la station d’épuration du Siaap d’Achères sont très chargées en métaux lourds et légers (cadmium, cuivre, aluminium, zinc, nickel, plomb, mercure), en produits chimiques (dioxine, arsenic, PCB…). Et aussi des milliers d’autres produits qui ne sont pas recherchés dans les analyses (par exemple antibiotiques, œstrogènes...), parce que l’Europe n’a pas fini d’en établir la liste. Ces éléments s’accumulent pendant des années et polluent irrémédiablement les sols et les rivières. Ce sont des éléments toxiques qui sont responsables de cancers et nombreuses autres maladies graves. En résumé, on peut s’inquiéter légitimement des dangers : pour la santé publique, pour la qualité de l’eau (déjà saturée de nitrates), et pour l’environnement.
Les conséquences d'un tel épandage dans la région seraient désastreuses.
L'ASU adhère aux Amis du Parc, futur PNR , se tient informée, et participera à l'enquête publique.
Chacun est invité à se manifester suivant les modalités indiquées dans le lien ci-contre :
RETOUR D' INFORMATIONS ET SITUATION A CE JOUR (semaine 39) :
Les amis du Parc Naturel Régional étudient actuellement les données de l'enquête publique et préparent une action/pétition.
Outre l'odeur particulièrement nauséabonde des boues d'épuration, elles sont dangereuses car elles contiennent des résidus de métaux, contrairement au digestat qui est un produit naturel de fermentation.
Du fait de la présence de nombreuses industries et de l’importance de la population en région parisienne, les boues de la station d’épuration du Siaap d’Achères sont très chargées en métaux lourds et légers (cadmium, cuivre, aluminium, zinc, nickel, plomb, mercure), en produits chimiques (dioxine, arsenic, PCB…). Et aussi des milliers d’autres produits qui ne sont pas recherchés dans les analyses (par exemple antibiotiques, œstrogènes...), parce que l’Europe n’a pas fini d’en établir la liste. Ces éléments s’accumulent pendant des années et polluent irrémédiablement les sols et les rivières. Ce sont des éléments toxiques qui sont responsables de cancers et nombreuses autres maladies graves. En résumé, on peut s’inquiéter légitimement des dangers : pour la santé publique, pour la qualité de l’eau (déjà saturée de nitrates), et pour l’environnement.
Les conséquences d'un tel épandage dans la région seraient désastreuses.
L'ASU adhère aux Amis du Parc, futur PNR , se tient informée, et participera à l'enquête publique.
Chacun est invité à se manifester suivant les modalités indiquées dans le lien ci-contre :
RETOUR D' INFORMATIONS ET SITUATION A CE JOUR (semaine 39) :
Les amis du Parc Naturel Régional étudient actuellement les données de l'enquête publique et préparent une action/pétition.
Résumé des échanges entre le PNR et les associations affiliées :
Les amis du parc se mobilisent pour s’opposer à un projet
d’épandage de boues
provenant de la station d’épuration d’Achères, sur le
territoire du PNR.
Ci-dessous
le lien d’accès au dossier d’enquête publique, ainsi que les
commentaires de
Jean-Luc Renaud et Gerhart Dehan et Michel Saint-Martin :
Nous
attendons donc les arguments préparés par FNE77.
_____
Le dossier de
l’enquête publique est ligne sur le site : www.seine-et-marne.gouv.fr/publications/enquêtes-publiques
« L’enquête
publique démarre le lundi 24 septembre pour 31 jours, je
suis prêt pour mener
une action.
Une pétition au niveau du PNR me semble une bonne
démarche.
FNE77
va travailler sur ce dossier, et nous apporter des
éléments pour l’avis que
nous déposeront à l’enquête publique. »
M.
_______
« il est indispensable que
l’Union des Amis du Parc fasse part de ses observations
lors de l’enquête
publique notamment afin de réclamer des garanties
sanitaires et la mise en
œuvre du principe de précaution.
Le
CLD est également invité à réagir. N’oublions pas que si
cet épandage est
imposé par l’Etat, il est aussi souhaité par une grande
majorité
d’agriculteurs… »
J.
_____
"Le problème concerne 32 communes du
périmètre du PNR."
G.
vendredi 21 septembre 2018
Recherches actives
Deux journées de campagne de recherche
à l’église de USSY SUR MARNE
et des découvertes !
l’A.S.U. * a ouvert à
la visite, comme chaque année, les
portes de l’église de USSY sur Marne, à l’occasion du démarrage des travaux de
dépose/restauration, des vitraux XVIème de la chapelle seigneuriale et des
JOURNEES du PATRIMOINE.
Mais il reste encore beaucoup de travail sur le terrain et
d’archives à dépouiller, pour écrire avec certitude toute l’histoire de ce
bâtiment emblématique du village.
Pour tous renseignements, ou pour participer à la prochaine
campagne, n'hésitez pas à nous contacter : asu77260@gmail.com
Y.Ampen, vice Présidente.

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